
Diagnostic écologique : aménagement et urbanisme
Cap Terre vous accompagne dans la réalisation des diagnostics écologiques faune/flore consistant à réaliser un état initial de la biodiversité, et d’analyser les effets prévisibles de vos projets d’aménagement sur les milieux naturels et les équilibres biologiques.
Cap Terre et le diagnostic écologique

Cap Terre prend en charge vos diagnostics écologiques de nature réglementaire, couvrant les 4 saisons, car certaines espèces n’ayant pas le même cycle de développement, ou la même niche écologique, les inventaires de terrain permettront de répertorier un maximum d’espèces de faune et de flore présentes sur le site aux différentes périodes de l’année.
Nous réalisons également ce diagnostic de manière concise et volontaire, afin de l’inscrire dans le cadre d’un label ou d’une certification (BiodiverCity, Sustainable Sites, BREEAM…).
ANALYSE CARTOGRAPHIQUE ET BIBLIOGRAPHIQUE
Cette analyse permet d’obtenir des informations sur la sensibilité du site, elle comprend :
- La recherche de données d’inventaires à proximité du site (associations, bureaux d’études spécialisés)
- L’analyse du contexte écologique environnant (ZNIEFF, Natura 2000, APB, PNR, Réserves Naturelles, etc.)
Inventaires de terrain
Ces inventaires, constituant la partie centrale de l’étude faune-flore, consistent à identifier un maximum d’espèces de faune et de flore présents sur le site. Les habitats déterminés préalablement servent à orienter la recherche des différents taxons : Flore ; Chiroptères, Mammifères, Amphibiens, Avifaune, Reptiles et les Insectes.
Objectifs du rapport
L’analyse des données recueillies permet d’identifier :
- Les zones du site à enjeu écologique (zone humide, habitat d’espèce protégée, etc.) ;
- La nature des impacts (perturbation, fragmentation, destruction, etc.) ;
- Le type et la durée des impacts (temporaire, permanent, direct, indirect, etc.)
En cas d’étude d’impact, le diagnostic faune-flore doit proposer des mesures d’Evitement, de Réduction et de Compensation (Séquence ERC) limitant les impacts sur la biodiversité, en recherchant l’objectif de zéro perte nette, voire de gain de biodiversité. Ceci pour répondre aux attentes de la Loi Biodiversité du 8 août 2016.